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"Le temps n'a pas d'emprise sur la musique". Tel pourait être le titre de cette chronique car sans être une copie conforme, ce "Twilight" sent bon le Genesis, époque "Nursery cryme" et autre "Selling England by the pound". Tout y est, la voix de Simone Rosseti proche de celle de l'ange Gabriel, des nappes de clavier que Tony Banks ne pourrait pas renier et un jeu de guitare de Francesco Zago qui n'est pas sans rappeler celui de Steve Hackett. Vous voilà donc prévenu ! mais ce groupe sans être novateur distille au travers de ses 7 compositions scotchées aux sonorités du début des années 70, un rock progressif symphonique plein de délicatesse.
Bernard Prévost
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