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Et revoici le Genesis suédois! Cette comparaison aussi flatteuse soit-elle prend toute son importance à l'écoute de ce deuxième album. Comment ne pas ignorer l'influence de Tony Banks sur le jeu de clavier de Carl Johan Kilborn et que dire des arpèges de guitare de John Löwenalder aux services de compositions sorties tout droit des chutes de studio de "Wind and wuthering". Confondant!

Seul le chant limité dans les aigus et linéaire de Johan Hansson gâche la très bonne impression laissée par ce "Lialim high" qui conforte tout le bien que l'on pensait de ce jeune groupe suédois. Un achat recommandé.

Bernard Prévost