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Retranchés derrière un néo-prog conventionnel et malgré des efforts sensibles depuis "... a poet's soliloquy", les 5 musiciens de Darius n'arrivent toujours pas à transcender leur propos musical structuré autour de couplets/refrains ponctués de quelques ponts musicaux. La guitare au registre hard (un peu à la manière de Udo Lang sur le dernier Chandelier) monopolise trop souvent l'espace sonore tenant la dragée haute à une section rythmique efficace faute d'être inspirée et noyant le jeu de clavier de Sven Martin essentiellement utilisé en accompagnement. Tout cela manque singulièrement de folie et laisse un arrière goût de déjà entendu.
Bernard Prévost
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